La beauté provient, d'après Léonard de Vinci, de l'alternance du rythme tridimensionnel des courbes faciales et des volumes. Son idée est que le visage présente, par rapport aux sourcils, un rythme des courbes faciales (voir figure), à savoir celles de l'orbite, de la graisse malaire, de l'ovale du visage. C'est sur ce rythme des courbes faciales que le peintre s'est basé pour établir une notion de beauté émotionnelle.
Le volume et la lumière jouent également un rôle déterminant. La photogénie, c'est la prise de la lumière. La peau doit être parfaite, évidemment. Les volumes des pommettes et des lèvres font aujourd'hui l'objet de la technique des fillings, dont il ne faut pas abuser, sous peine d'aspect caricatural, voire ridicule.