Docteur
VENDROUX
Jean
T. 01 39 51 66 69 - 5 rue d'Angiviller, 78000 Versailles
Posez vosquestions
ContactDevis
La chirurgie réparatrice est une part importante de mon activité. Je suis engagé aux côtés de l'association humanitaire "La chaîne de l'espoir". je vous invite à regarder les 7 vidéos de nos missions au Mali en cliquant ici.
La médiatisation exagérée dont fait l'objet la chirurgie esthétique conduit souvent à la divulgation et à la transmission d'informations erronées ou déformées.
Or, c'est précisément une information détaillée, claire et précise qui doit constituer l'étape indispensable et incontournable avant toute intervention chirurgicale, à fortiori lorsqu'il s'agit de chirurgie plastique et esthétique.
A ce titre, la première des informations me paraît devoir concerner la formation et la compétence du chirurgien que vous consultez.
En effet, et les médias s'en sont souvent fait l'écho récemment, plus de 85% des médecins qui souscrivent une assurance en chirurgie esthétique, donc qui réalisent des actes de chirurgie esthétique, n'ont pas la compétence requise auprès du Conseil de l'Ordre.
Or, la chirurgie plastique et esthétique est une spécialité chirurgicale à part entière et seule une information chirurgicale complète et approfondie permet d'être préparé à faire face à toutes les situations.
Les sourires de l'espoir : Episode 3
Des chirurgiens français se rendent au Mali afin d'opérer gratuitement des enfants atteints de becs de lièvre.
NAÎTRE AU MALI AVEC UN BEC DE LIÈVRE
Naître au Mali avec un bec de lièvre est souvent considéré comme une malédiction, au point que les enfants atteints par cette malformation sont rejetés par leur famille. Il faut parfois faire le tour des villages pour convaincre les marabouts que la médecine est efficace. Dans un village, le jeune Madi ne pouvait pas jouer au football. Rejeté par son père, il était considéré comme "un enfant du malheur", avant l'opération. "Avant l'opération, il ne fréquentait personne, on avait honte. Son bec de lièvre l'isolait, les gens se méfiaient de lui", confirme le père.
SOURIRE , ENFIN, SANS HONTE
Depuis l'opération, toute la famille est heureuse, et le jeune garçon va où il veut. "Aujourd'hui, je vis avec une cicatrice, mais je ne sens plus rien. Au début, j'avais peur que ça s'ouvre", explique Madi. "Je l'ai embrassé", répond le père lorsqu'on lui demande ce qu'il a fait lorsqu'il a vu son fils pour la première fois après l'intervention. L'adolescent aura attendu quinze ans avant de sourire sans honte.
"Source France Info du 09/10/2019"
VOIR L'EPISODE 4